Goas Treiz, c’est « ma » plage, celle où tout petit j’enfouissais mes rêves dans les rochers pour en faire des châteaux.
La dune la sépare d’ Ar C’hellenn, qui y vient s’écouler doucement. Mouvante suivant les tempêtes, elle offre un refuge aux chardons bleus, choux marins et autres plantes maritimes. Suivant le littoral vers Enez Veur, l’Île Grande, on arrive au port du Toeno, voisin, et à sa petite plage, pleins de charmes.
Les hommes ont toujours fréquenté ces lieux et les vieilles pierres parsèment le littoral. Aujourd’hui, ils colonisent les hauteurs et, dans le même temps, les chevreuils descendent des bois de Lann ar Waremm, sans doute pour observer les touristes et jeter un œil distrait sur les kitesurfeurs.
louec’hi
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